Nom de l’auteur/autrice :Claude Kojchen

WikiMaint… Le mode de défaillance Les plus fidèles d’entre vous se souviennent de la différence entre panne et défaillance (Wikimaint #2). La défaillance est le passage, la transition, la perte de fonction. C’est la casse, l’arrêt, etc. Une défaillance va se manifester la plupart du temps par un critère physique. La manière qu’elle a de se produire est ce qu’on appelle le mode de défaillance. Par exemple pour un vérin des modes de défaillance peuvent être la casse de la tige, son blocage, sa torsion, etc. Lorsqu’on dépanne un équipement, identifier le mode de défaillance permet de progresser dans la recherche de la cause. Retrouvez le détail de ce terme dans le module de formation en ligne e-bpm.tech : D1 Structurer la démarche de dépannage.    Découvrez tous les Wikimaint sur le blog e-BPM, premier site de formation en ligne dédié aux acteurs de la maintenance.

WikiMaint… PARETO Qu’on l’appelle PARETO, 20-80, ou ABC, cette méthode permet d’analyser des données nombreuses, et d’en faire ressortir l’essentiel. Elle permet de se consacrer sur les causes principales d’un problème à régler, comme de trouver la panne la plus fréquente (PARETO en t), ou la plus nombreuse (PARETO en n), ou de se consacrer aux articles d’un stock de pièces de rechange qui sont les plus couteux. Son principe est de classer puis d’identifier les 20% des causes qui représentent 80% des effets de ce qu’on étudie. Cette méthode permet ainsi de ne travailler que sur 20% de ces causes, pour avoir un résultat sur 80% des effets.  C’est ce qu’on peut appeler une méthode de fainéants efficaces ! Retrouvez le détail de ce terme dans le module de formation en ligne e-bpm.tech : B5 Utiliser la méthode PARETO en maintenance.    Découvrez tous les Wikimaint sur le blog e-BPM, premier site de formation en ligne dédié aux acteurs de la maintenance.

WikiMaint… La leçon ponctuelle C’est une information qui dure moins de 5 minutes, qui est donnée oralement, à 1 ou 2 personnes en même temps. Elle ne traite qu’un sujet à la fois, qui peut être un sujet technique ou de méthode. C’est une connaissance de base, la description d’un dysfonctionnement ou d’une amélioration, et des mesures à prendre pour l’éviter.  Elle est inscrite sur une feuille A4 accompagnée de photos ou de dessins.  Une fois que l’ensemble des personnes concernées a été formé, la leçon ponctuelle est stockée dans le classeur des savoir-faire de l’équipe.   👉 Découvrez tous les Wikimaint sur le blog e-BPM, premier site de formation en ligne dédié aux acteurs de la maintenance.

WikiMaint… les 4 grands types de standards techniques 1. Standard d’intervention :  2. Standard de mesure :  3. Standard de matériel :  4. Standard de méthodes :  Retrouvez le détail de ces termes dans le module de formation en ligne e-bpm.tech : B4 Gérer la documentation avec succès.      Découvrez tous les Wikimaint sur le blog e-BPM, premier site de formation en ligne dédié aux acteurs de la maintenance.

WikiMaint… Les standards techniques Qu’entend-on par standard technique ? c’est le sujet de cette semaine. Un standard technique est un document décrivant une méthode, une bonne pratique ou un savoir-faire qui fait consensus en interne. Il permet de capitaliser et d’enrichir le savoir-faire technique du site, sans avoir le caractère obligatoire d’une procédure. Il décrit des savoir-faire techniques mis en œuvre par les services maintenance, de la façon la plus synthétique et visuelle possible : photo, dessin, schéma.  Il est créé dès qu’un savoir-faire ou un mode opératoire a besoin d’être partagé ou enregistré. Il sert de référence lors des interventions.    Découvrez tous les Wikimaint sur le blog e-BPM, premier site de formation en ligne dédié aux acteurs de la maintenance.

WikiMaint… La check-list Aujourd’hui, en complément du mode opératoire de la semaine dernière, nous parlons de la check-list.  La check-list est l’ensemble des contrôles et des mesures à réaliser lors d’une opération, en particulier lors d’une inspection de maintenance préventive. Elle complète le MODOP qui explique comment faire. Chaque point de la check-list fait idéalement l’objet d’une valeur à mesurer, qui est reportée dessus. La check-list est un document « vivant », sur lequel des informations et des valeurs sont notées. Ces valeurs peuvent être ensuite reportées sur la GMAO, pour suivre la progression d’une usure, par exemple. Retrouvez le détail de ces termes dans le module de formation en ligne e-bpm.tech : D3 Bien préparer une intervention.    Découvrez tous les Wikimaint sur le blog e-BPM, premier site de formation en ligne dédié aux acteurs de la maintenance.

WikiMaint… Le mode opératoire Aujourd’hui, en complément de la gamme d’intervention abordée la semaine dernière, nous parlons du mode opératoire (dit aussi MODOP). Ce document décrit « comment » réaliser l’opération qu’il décrit, en faisant ressortir les points clés de chaque étape. Idéalement, il comporte des photos, et si un contrôle doit être réalisé, il explique aussi comment le faire. A la différence de la check-list qui permet de recueillir les infos relevées, il ne sert qu’à donner des infos. Il peut être très différent en fonction des personnes auxquelles il s’adresse : un opérateur de production n’a pas besoin des mêmes infos qu’un technicien de maintenance chevronné. Retrouvez le détail de ces termes dans le module de formation en ligne e-bpm.tech : D3 Bien préparer une intervention.    Découvrez tous les Wikimaint sur le blog e-BPM, premier site de formation en ligne dédié aux acteurs de la maintenance.

Aujourd’hui nous parlons de la gamme d’intervention. La gamme d’intervention décrit le déroulement général d’une intervention assez lourde, et comportant plusieurs séquences avec des équipes différentes. C’est l’un des supports utilisés pour préparer une intervention. Sa différence avec le mode opératoire est résumée dans ce schéma : Retrouvez le détail de ces termes dans le module de formation en ligne e-bpm.tech : D3 Bien préparer une intervention.  Découvrez tous les Wikimaint sur le blog e-BPM, premier site de formation en ligne dédié aux acteurs de la maintenance.

WikiMaint… Le dossier technique opérationnel À quoi sert le DTO (Dossier Technique Opérationnel) ? Le DTO est conçu pour assister les techniciens maintenance lors de leurs interventions. Il présente les informations sous la forme la plus utile à leur exploitation. La quantité d’infos qu’on y trouve est proportionnelle à la « criticité » de l’équipement. Par exemple, un touret à meuler n’a pas besoin de DTO, contrairement à une motopompe du process. Il comprend tous les renseignements d’un équipement, nécessaires au personnel du service maintenance pour : Retrouvez le détail de ces termes dans le module de formation en ligne e-bpm.tech : B4 Gérer la documentation avec succès.    Découvrez tous les Wikimaint sur le blog e-BPM, premier site de formation en ligne dédié aux acteurs de la maintenance.

WikiMaint… FMD, ça me sert à quoi ? Aujourd’hui, quelle synthèse peut-on faire sur les notions de fiabilité, maintenabilité et disponibilité ? L’intérêt de ces notions est qu’elles permettent de mieux comprendre où attaquer, pour améliorer la disponibilité d’une machine.  Si elle tombe souvent en panne avec des pannes courtes comme notre machine A, il faut travailler sa fiabilité, qui provient de la machine, de sa conception, et surtout du préventif que l’on pratique sur elle. Si au contraire, elle a peu de défaillances, mais que ses pannes sont longues à régler comme notre machine B, il faut travailler sa maintenabilité. Cela en ayant une équipe de maintenance efficace, réactive, formée et avec la documentation nécessaire ; et aussi en ayant en stock les bonnes pièces de rechange au bon moment.    Découvrez tous les Wikimaint sur le blog e-BPM, premier site de formation en ligne dédié aux acteurs de la maintenance.